Les préférences motrices

TERRIEN OU AÉRIEN ?
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Nous ne nous tenons pas tous de la même manière !

En station debout immobile, nous trouvons les déhanchés sur un pied ou sur l’autre, les adeptes des bras croisés, ceux des mains sur les hanches… Il en est de même en dynamique. Nous ne marchons ni ne courons pas tous d’un pas unique.

Ainsi, nous distinguons l’attaque talon, la foulée rasante, la “sautillante”, le tronc en avant, petite ou grande cadence, les bras proches du corps ou bien éloignés… La liste est non exhaustive. Autrement dit, nous n’avons pas tous la même motricité. On parle alors de préférences motrices ou naturelles, selon les auteurs.

Quelques exemples d'exercices pour tester les motricités verticales ou horizontales :

Nous nous sommes formées à cette notion émergente dans le monde thérapeutique, sportif et ergonomique.

Il s’agit là de définir à partir de tests corporels reproductibles, la motricité du sujet, sa zone de préférence et d’apporter cette connaissance au traitement par semelles (si nécessaire), conseils et exercices de motricité.

Les préférences motrices s’imposent aujourd’hui comme un ingrédient primordial de prévention des blessures et pour booster la performance.

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Zone de défaut

Risque de blessure – Contre-performance

Zone de préférence du sujet

Optimisation de la motricité

Zone d'excès

Risque de blessure – Contre-performance

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